Christmas Carnage

Bonjour cher interno-spectateur,

Des jeux de Noël gore des années 90, y en a quand même plusieurs. Habituellement la plupart d’entre eux se ressemblent se contentant d’être un simple jeu de plateforme à la Burger Time / Jetpack / Lode Runner / etc. Mais aujourd’hui je vais vous en présenter un qui fait partie des rares clones de Noël du jeu Paratrooper… Oui oui, vous souvenez ce fameux jeu des années 80 où on a un canon et avec lequel on doit tirer des rednecks/soldats sauter en parachute? Si ça ne vous dit rien, plus récemment dans le genre il y a eu le célèbre jeu Night Raid pour lequel j’ai publié un article dans le passé.

M’enfin, le jeu présenté aujourd’hui est du même genre mais version Noël gore où l’on doit trucider le plus de Père Noël et de terrifiants petits lutins qui hantent honteusement nos centres d’achats. Je dis gore, mais ce n’est quand même pas le plus sanglant des jeux de Noël que j’ai vu mais n’empêche que de faire écraser (et éclater) des connards des lutins et des gros porcs de père Noël, ça ne reste quand même pas dans les roses…

Donc clairement pas le genre de jeux à présenter, à de petits enfants qui sont désespérément en quête de père Noël. Et j’espère vous qui êtes visiteurs de ce blog ne le faîtes pas en présence de vos chérubins, puisque définitivement non seulement ce blog n’est pas destiné aux jeunes enfants, mais mes propos mal interprétés peuvent même être dommageables à leur développement inter-relationnel voir inter-personnels. Car un trop grand choc des perceptions et de surcroit émotionnel (également appelé choc post-traumatique) va invariablement mener fiston et/ou fifille dans un mode de penser du dénit de la société; se sentir complètement détaché. Un individu qui vit de dénit sociétaire n’est jamais heureux et un individu jamais heureux, c’est quelqu’un qui dans sa quête souvent imprévisible va chercher à sortir de sa torpeur. Mais comprenez-le bien un individu malheureux est généralement dépressif et individu dépressif ça ne brouille que du noir, donc répand le noir partout où il passe.

Ceci étant dit pour revenir à nos moutons, le jeu Christmas Carnage développé et distribué par John Dondzila en 1994, niveau contrôle reste néanmoins assez archaïque, notamment dû au fait que pour faire pivoter le canon on doit utiliser SHIFT (MAJ) gauche et SHIFT droit tandis que pour tirer on doit utiliser l’espace (space bar)… Que l’on veuille ou pas, c’est difficile de prendre la vitesse si les trois boutons sont non seulement les plus lent à répondre sur un clavier dû à leur taille mais en plus on est tellement ils ne sont pas tellement placés pour que ce soit ergonomique d’y jouer, par conséquent si on ne veut pas se faire une tendinite si on shoote en malade on doit lâcher un des deux shifts…

Un jeu qui n’est pas nécessairement très bon, mais a néanmoin le mérite d’être présentable le jour de Noël lorsqu’on est seul comme l’était McCaulay Culkin à la même époque dans le film Maman, j’ai raté l’avion (Home Alone pour les plus anglicisés d’entre-vous!)

Merci,
Napostriouf Sar