Super Silverbros!

Bonjour cher interno-spectateur,

Aujourd’hui je vous présente probablement le jeu le plus mal conçu de la part d’une personne considéré comme une légende dans l’industrie du jeu vidéo. Il s’agit d’un jeu de plateforme du nom de Super Silverbros! aka Super Silverbrothers développé et distribué par Ken Silverman en 1991.

Oui oui, vous avez bien lu Ken Silverman, le même qui a développé le « Build Engine » duquel a été forgé le très réussit et célèbre jeu de FPS Duke Nukem 3D. Disons que dans Super Silverbros!, Ken Silverman n’a pas mis les même efforts que dans d’autres de ses projets. À l’origine ce projet était dans le but de faire un jeu comme « Super Mario Bros » pour PC… Mais qui avec le résultat final il l’a mis gratuitiel (freeware) et on comprend très bien pourquoi. Et si vous voulez savoir qu’est-ce que ce jeu a de si mauvais? Les contrôles!!! Probablement, le jeu avec les pires contrôles dans l’histoire des jeux vidéos. Lorsqu’on configure le jeu avec le clavier, le jeu est beaucoup sensible pour que ce soit jouable et pour ce qui est du monde de contrôle via la souris, laissez-moi rire, les contrôles sont tellement serré qu’il est IMPOSSIBLE de sauté assez loin entre les blocs, résultat on meurt quasi-instanément. C’est d’ailleurs pour ça que je meurt au 3e tableau, un tableau qui j’ai pourtant essaie pendants plusieurs jours d’affilé à en gaspiller la majorité de mes temps libre à essayer de traverser sans succès, le jeu idéal si vous voulez vous « minder » à être frustré. Ceci dit, Ken Silverman avait la réputation à l’époque de souvent commencer des projets sans jamais les finir… Peut-être c’est ce qui s’est produit avec celui-ci ne sait-on jamais, la seule chose je me demande donc pourquoi l’avoir publié au pire met-le en suspend en indicant que le jeu n’était qu’un construction kit duquel tu te pratiquais… Mais ne le publie pas ainsi… M’enfin bref, puisque c’est du Ken Silverman, ce jeu reste un collector! Donc un jeu que je conseille uniquement aux fans HARDCORE de Ken Silverman…

Merci,
Napostriouf Sar