SpeedKar

Bonjour cher interno-spectateur,

Aujourd’hui, je vais vous présenter un jeu que je n’ai jamais été tellement fan, mais que je sais à l’époque dans l’univers underground des BBS téléphonique ce jeu était extrêmement populaire, car hyper par la masse qui appréciait le fait qu’on puisse faire un remake du jeu Rally-X tout ayant des modes supplémentaires. Oui, je parle bien entendu du jeu de labyrinthe/course SpeedKar développé et distribué par PLBM Games en 1996.

Ne pas être tellement fan de ce jeu de la part de quelqu’un qui apprécie à peu près toutes les variantes de pac-man vous paraît bizarre? Je vais vous être franc, ce que je n’aime pas avec ce jeu-là, c’est qu’on passe plus de temps à regarder la mini-map que de se concentrer sur notre élément soit celui d’amasser des drapeaux au sol. Ce n’est pas un jeu d’avion ou de tank où je cherche à atteindre suivre des cibles pour les tirer, non pas du tout, c’est un jeu ou que tu dois simplement capturer des drapeaux sur une map de type labyrinthe avec lequel si tu joues en mode étendu tu peux avoir en prix à gérer du gaz, la vitesse et diverses autres interactions qui normalement auraient dû être cool mais dans le cas ci-présent vu que 95% se joue en regardant la mini-map, c’est bien mais une bonne partie du «fun» de ce type de jeu où on fuit des ennemis bien prend le bord.

Niveau musiques et effets sonores, comme vous pouvez le remarquer, ils sont très basiques car justement à l’époque PLBM Game était un développeur indépendant! En 2014, ils font actuellement des jeux pour Android au cellulaire mais il reste a longtemps été une équipe de développeurs obscure qui tirait son épingle des underground lovers.

Un jeu qui mérite la mention, car a été beaucoup apprécié dans l’univers underground de milieu des années 90, mais qui pour être franc vu d’aujourd’hui y a tellement jeu de ce genre que nombreux d’entre vous allez passer à côté sans même vous intéresser plus loin que la vidéo que j’ai faite. C’est un peu triste mais au moins saura satisfaire les fans d’histoires de retrogaming.

Merci,
Napostriouf Sar