Bonjour cher interno-spectateur,

Nous sommes l’hiver et je n’avais pas vraiment présenté de jeu sportif d’hiver cette année… J’ai donc eu l’idée de présenter un des plus grand hits du début des années 90 qui malgré le fait qu’il a été un hit à l’époque, aujourd’hui en 2013, seul les plus âgés d’entre-nous le connaissent. Oui, bien entendu je fais état du jeu humoristique sportif d’hiver, Ski or Die développé et distribué par Electronic Arts en 1990.

Oui, oui, vous avez bien vu, Ski or Die de la célèbre série or Die qui avait également fait naître préalablement un autre succès du nom de Skate or Die, lequel est resté populaire plus longtemps car avait moins de compétiteurs que Ski or Die. Ski or Die malgré son côté humoristique reste néanmoins un jeu compétitif où à force d’y jouer on peut se surpasser.

Que ce soit dans la descente de pneu où on doit non seulement finir premier, mais tenter de sacrer en bas son adversaire ou lui crever son pneumatique avec une fourchette/aiguille/diachylon à expansion afin de gagner des points et avoir des bonus, tout en ayant à gérer une certaine pression d’air que ce soit dans les épreuves de ski aérien, downhill mélangé avec ski de bosse à la Jean-Luc Brassard, que ce soit avec les combats de balles de neiges jouables en 360 degrés (bien que dans la vidéo j’ai un peu rusher pour trouver comme aller au sud, ouest et est) ou que ce soit dans l’activité de snowboard en half-pipe totalement loufoque mais néanmoins avant-gardiste (car ce jeu date d’avant que ce sport devienne une discipline olympique) offrent tous une perspective de jeu quasi illimité, puisqu’à chaque partie que l’on joue il y a toujours des nouvelles choses qu’on découvre. Et ce sans oublier le fait que ce jeu peut être joué jusqu’à 4 joueurs!

M’enfin un jeu qui malgré le fait que graphiquement il a disons-le poliment très vieilli au point d’être extrêmement laid même pour les fans comme moi de 8 bits, il reste un must-have pour tous ceux qui les jeux d’hiver intéressent étant donné qu’il ajoute des disciplines qui sont totalement absentes des autres jeux d’hiver tout en y apportant d’excellentes perspectives.

Merci,
Napostriouf Sar