Bonjour cher interno-spectateur,

Et bien oui, pour ceux qui m’ont connu à l’époque de À la lumière du nom, se rappeleront de ce classique dénominatif, bonjour cher interno-spectateur. Malgré le côté un peu narcissique que cela peut présenter, ça me néanmoins dans l’ambiance du fait que je fais un show. Et bien oui, on peut écrire un article être devant personne visuellement et bien un faire un show sans tomber dans la skizophrénie.

Mais bon, trève de plaisanterie, dans ce blog je risque de beaucoup de parler de mes mémoires dans le monde du jeu vidéo, de mes développements voir futur dans l’industrie tout en commentant ce dont je peux « jouer » dans les instances du moment. Étant un grand fan de simulateur de gestion et RPG on s’entend vers quoi se dirigera ce merveilleux blog.

Mais bon, il m’arrive aussi de sortir de ma coquille et de jouer à des jeux comme je vais parler aujourd’hui tel que Sword Of The Samurai par MicroProse duquel Sid Meier à l’époque où il n’était pas connu avait participé au projet en ayant un rôle plutôt effacé. Ce jeu, datant de la fin des années 80 mais qui j’ai au début des années 90, disons m’a beaucoup marqué, du fait que le jeu va dans un indepth qui n’a toujours pas été reproduit. Ce jeu que l’on peut difficilement classer dans un genre particulier, bien qu’on aurait pu jumeler divers styles pour le qualifier RPG-Simulation-Strategy-Gestion, de qui de surcroit vous comprenez un peu le sens que le jeu prend. Pour être franc, disons que des dynasties dans ce jeu j’en ai fait et ce malgré parfois l’incohérence entre les niveaux de difficulté. Sinon, côté historique Sword Of The Samurai, nous plonge dans l’univers bien documenté de l’époque des Samurai avant l’arrivée des Occidentaux sur l’ile nippone. (Quoiqu’on pourrait toujours débattre sur l’absence des Inoues (caucasian vivant sur l’ile depuis bien avant les Orientaux) du jeu, mais bon historiquement parlant on n’a que très peu de trace de ceux-ci) Sinon vous pouvez toujours regarde une mini-vidéo que j’ai fait du jeu pour en connaitre davantage.

Merci,
Napostriouf Sar