Archives de catégorie : Simulation et tir

Hostage

Bonjour cher interno-spectateur,

Aujourd’hui, je remplis une demande spéciale d’un de mes camarades Australiens de rétrogaming, Ausretrogamer ( http://www.ausretrogamer.com/ )! Lui qui avait tant aimé la version d’Atari ST du jeu que je vous présente aujourd’hui, voulait voir si la version PC/DOS était aussi excellente. Bien qu’il risque d’être légèrement déçu, je la présente quand même, question qu’il puisse comparer les pour et les contre. Il s’agit d’un jeu de tir tactique du nom de Hostage développé par Infogrames Europe SA, mais distribué par Mindscape, Inc. en 1989.

Oui, il s’agit d’un port assez médiocre n’ont pas à cause du graphisme n’ont pas à cause de la musique en PC Speakers qui néanmoins un charme malgré un débit à en faire exploser nos tympans… Non, la cause est principalement au fait que les contrôles ne répondent que très peu. Le jeu est pratiquement injouable ce qui en devient frustrant assez rapidement surtout lorsqu’on a un terroriste devant notre face qu’on tir en sa direction mais que la réponse directionnelle est tellement lente qu’on se fait tuer avant qu’on ait réussi à l’atteindre… Oui, extrêmement frustrant et le terme reste doux.

Mais l’idée du jeu était très avant-gardiste… Un jeu de tir tactique avant Rainbow Six, il n’y en a eu que quelques-uns. Et celui-ci, bien dans presque toutes les plateformes où il a passé, il était hyper hot sauf sur PC/DOS. Oui, en 1989 le PC n’était pas encore assez respecté des développeurs, donc il n’y a pas grand effort mis lorsque certains jeux étaient portés. Assez désolé surtout lorsqu’on sait que si ce jeu avait été développé 2 ans plus tard ça aurait été une tout autre histoire et on aurait probablement eu le droit à un gameplay du tonnerre qui aurait fait de ce jeu un sérieux aspirant pour le hall of fame des jeux de tir tactique.

Un jeu qui vaut néanmoins le détour à condition que vous ne jouiez pas à la version PC/DOS. Parce que sinon vous allez vous rendre compte que cette version ne rend pas justicier à la très excellente conception du jeu, fait rare pour un jeu made in France.

Merci,
Napostriouf Sar

Evasive Maneuvers

Bonjour cher interno-spectateur,

Au dernier article, lors de mon retour en force j’ai décidé de présenter un jeu d’une cie mainstream même si le jeu en tel ne l’était pas tant ça… Donc pour contre-balancer, aujourd’hui je vais présenter un jeu d’une cie indépendante totalement inconnu y compris des gens qui vivaient du gaming underground des années 90, mais avec un concept mainstream de shooter spatiale. Il s’agit ici du jeu Evasive Maneuvers développé et distribué par Exaggerated Software en 1994.

Oui, malgré le concept mainstream que ce sont les jeux de shooter spatiale en général, du moins du point de vue des années 90, le jeu réussit à prendre le meilleur du domaine. Avec le concept de gérer l’essence de notre vaisseau, les différentes approches à divers niveaux faisant ainsi en sorte que le jeu est un paradoxe par lui à la fois facile, frustrant et plaisant. Donc même si le jeu est facile, vu qu’il est frustrant par son côté surprenant il impose une durée de vie quand même assez bonne pour une rejouabilité toujours des plus plaisantes car rarement redondant vu son côté surprise qui nous impose à nous surpasser malgré la facilité!

Graphiquement parlant pour un jeu indépendant de 1994, c’est quand même très réussi, On reste dans l’environnement graphique de stéréotype «spatial geek» qui aime à la fois l’univers des Mecha Bot, Perdu dans l’espace, Guerre de l’espace, Star Wars, Star Trek et en passant par une petite touche de Zaxxon. Si vous étiez un fan fini de tout ce qui touchait l’univers spatial des années 90 vous allez assurément être graphiquement dans votre élément.

Niveau musique et sonore, là c’est vrai qu’on tombe malheureusement vite dans la redondance. Mais ça c’est le cas pour la plupart des jeux de cie indépendante. On dirait que la trame midi utilisé n’a qu’un seul instrument joué dans différentes teintes… Mais bon, lorsqu’on joue à ce genre de jeu la musique a plus ou moins d’importance en aucun que ça ne te fasse pas perdre le cours de la partie. Ici vu qu’il n’y a pas vraiment d’histoire dans le jeu, il n’y a pas vraiment d’univers mental autre que visuel où embarquer.

Un jeu qui à peu près tous les types de gamers peuvent trouver leurs intérêts. Mais c’est clair que la plupart vont se lasser quand même assez rapidement non pas parce que le genre a été souvent repris mais bien parce qu’il est beaucoup focussé pour être apprécié des «spatials geek». Donc, c’est un jeu qui est surtout susceptible à long d’intéresser les «spatials geek» et les fans hardcore de shooter.

Merci,
Napostriouf Sar

Christmas Carnage

Bonjour cher interno-spectateur,

Des jeux de Noël gore des années 90, y en a quand même plusieurs. Habituellement la plupart d’entre eux se ressemblent se contentant d’être un simple jeu de plateforme à la Burger Time / Jetpack / Lode Runner / etc. Mais aujourd’hui je vais vous en présenter un qui fait partie des rares clones de Noël du jeu Paratrooper… Oui oui, vous souvenez ce fameux jeu des années 80 où on a un canon et avec lequel on doit tirer des rednecks/soldats sauter en parachute? Si ça ne vous dit rien, plus récemment dans le genre il y a eu le célèbre jeu Night Raid pour lequel j’ai publié un article dans le passé.

M’enfin, le jeu présenté aujourd’hui est du même genre mais version Noël gore où l’on doit trucider le plus de Père Noël et de terrifiants petits lutins qui hantent honteusement nos centres d’achats. Je dis gore, mais ce n’est quand même pas le plus sanglant des jeux de Noël que j’ai vu mais n’empêche que de faire écraser (et éclater) des connards des lutins et des gros porcs de père Noël, ça ne reste quand même pas dans les roses…

Donc clairement pas le genre de jeux à présenter, à de petits enfants qui sont désespérément en quête de père Noël. Et j’espère vous qui êtes visiteurs de ce blog ne le faîtes pas en présence de vos chérubins, puisque définitivement non seulement ce blog n’est pas destiné aux jeunes enfants, mais mes propos mal interprétés peuvent même être dommageables à leur développement inter-relationnel voir inter-personnels. Car un trop grand choc des perceptions et de surcroit émotionnel (également appelé choc post-traumatique) va invariablement mener fiston et/ou fifille dans un mode de penser du dénit de la société; se sentir complètement détaché. Un individu qui vit de dénit sociétaire n’est jamais heureux et un individu jamais heureux, c’est quelqu’un qui dans sa quête souvent imprévisible va chercher à sortir de sa torpeur. Mais comprenez-le bien un individu malheureux est généralement dépressif et individu dépressif ça ne brouille que du noir, donc répand le noir partout où il passe.

Ceci étant dit pour revenir à nos moutons, le jeu Christmas Carnage développé et distribué par John Dondzila en 1994, niveau contrôle reste néanmoins assez archaïque, notamment dû au fait que pour faire pivoter le canon on doit utiliser SHIFT (MAJ) gauche et SHIFT droit tandis que pour tirer on doit utiliser l’espace (space bar)… Que l’on veuille ou pas, c’est difficile de prendre la vitesse si les trois boutons sont non seulement les plus lent à répondre sur un clavier dû à leur taille mais en plus on est tellement ils ne sont pas tellement placés pour que ce soit ergonomique d’y jouer, par conséquent si on ne veut pas se faire une tendinite si on shoote en malade on doit lâcher un des deux shifts…

Un jeu qui n’est pas nécessairement très bon, mais a néanmoin le mérite d’être présentable le jour de Noël lorsqu’on est seul comme l’était McCaulay Culkin à la même époque dans le film Maman, j’ai raté l’avion (Home Alone pour les plus anglicisés d’entre-vous!)

Merci,
Napostriouf Sar

Cheesy Invaders

Bonjour cher interno-spectateur,

Aujourd’hui je vous présente un space shooter dans le genre de space invaders mais humoristique du nom de Cheesy Invaders développé et distribué par Cheesy Software en 1994.

Et oui une autre variante de l’éternel jeu space invaders qui s’adresse principalement aux adeptes de cette variété de jeu pionnier des shooter. M’enfin, le jeu par lui-même est-ce qu’il est intéressant, est-ce qu’il est le fun? Bien pour vous être franc, je vous dirais que pas tellement, mais je ne suis pas fan du genre non plus. Le côté humoristique, je le trouve plutôt raté ce malgré l’environnement simpsonesque du début années 90. M’enfin, selon moi le seul bon point de ce jeu c’est qu’il varie d’un tableau à un autre, bien que ça reste un shooter stationnaire. Un jeu qui par sa difficulté excessivement élevé au point de vous enragé ne saura pas plaire au moyen des gamers, mais qui néanmoins les fans de shooter spatial seront intéressé par son côté collector.

Merci,
Napostriouf Sar

Xerix

Bonjour cher interno-spectateur,

Aujourd’hui je vous présente un shooter de l’espace qui fut plutôt méconnu ce malgré le fait qu’il fut distribué en tant que gratuitiel dans la plupart des grands BBS d’Amérique du Nord et d’Europe. Il s’agit du jeu Xerix développé et distribué par Brendan Reville de Twilight Software en septembre 1992.

Oui, encore un shooter méconnu du grand publique que je présente vous allez dire? Et bien oui, et pourtant il est quand même assez bon. Certe comme vous avez pu le constater sur la vidéo j’ai coupé les bouts où que je meurt, car sinon la vidéo dépassait de loins les 15 minutes. Et j’ai même du jouer au niveau NOVICE afin de pouvoir avoir assez de matériel pour vous montrer l’ambiance du jeu. Car oui, au niveau EXPERT, il faut vraiment être un expert en jeu de shooter pour y performant. Ne l’étant pas vous vous doutez que je suckais royalement. Ceci étant la particuliarité de ce shooter est le fait qu’il allit le style rétro-garde des années 80 à l’horizontale avec l’intelligence artificiel des shooter vertical, résultat ça donne un style unique. Quoiqu’à mon avis pas nécessairement meilleur, mais néanmoins unique. Donc il s’agit vraiment d’un jeu pour les fans finit de shooter d’aviation et/ou spatial, car les gens qui ne sont pas vraiment fan du genre risque de s’avérer assez frustré par le fait de savoir comment il est facile de mourrir dans celui-ci.

Merci,
Napostriouf Sar